Maxime Gorki, né et mort depuis un petit moment déjà écrivait dans « Le Patron » :
« Un silence se fit, puis tout le monde se mit à rire, de ce rire sain et rafraîchissant qui, telle une pluie d’été, lave l’âme humaine, la débarrasse de la poussière, de la fange et de toutes les souillures, mettant à nu ce qui est bon et lumineux, invitant les gens à former un seul corps, un groupe compact et uni. »
Ne serait-ce pas une belle idée, je ne sais pas moi, de sortir dans la rue, tous ensemble, tous ensemble et ne plus former qu’un être, un être solidaire, prêt à tout pour leur montrer qui c’est qu’est le plus fort, non mais des fois… Et on appellerait ça, tiens au hasard, une manif par exemple.